17 juillet 2020
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A Paris ou à Pékin, à Amiens ou à Oulan Bator, j'ai, depuis une bonne dizaine d'années, pris un réel plaisir à photographier les balayeurs. Façon de rendre visibles et beaux ces invisibles que souvent notre regard efface.
Le plus beau des compliments jamais reçus sur cet aspect de mon travail de photographe de rue : tu vois des choses que les autres ne voient pas.
© Jean-Louis Crimon