Cher urbain des bois,
A nouveau, tu t'interroges sur la raison de ces fenêtres closes, obturées à tout jamais pour de sordides calculs de taxes locales et tu te demandes bien qui de quel siècle, de quel millénaire, de quel gouvernement, déclarera l'obligatoire réouverture des fenêtres murées ? Ce jour-là, celui-là, oui, tu voteras pour lui.
Pour en finir avec cette BD absurde où les maisons, volets fermés, fenêtres murées, dessinent une ville zarbie qui a peur de la lumière.
Robin des bois des villes, militant de l'ouverture à plein tube, aux armes, citoyens, citoyennes, ouvrons grand les persiennes. Défenestrons les fenêtres aveugles. Jetons par la fenêtre ces fenêtres de briques. Souhaitons la bienvenue au retour de la lumère.